En bonne santé, un être vivant est en harmonie avec lui-même et avec son environnement.
Lorsqu’il est malade, en souffrance ou perturbé dans son fonctionnement, il se trouve en déséquilibre de son énergie vitale, ce qui s’exprime au travers de divers symptômes physiques ou mentaux.
Aujourd’hui on parlerait plutôt d’un déséquilibre de l’axe psycho-neuro-endocrino-immunologique et les symptômes, soit la pathologie, sont le reflet de ce déséquilibre.
Chaque être vivant est particulier, raison pour laquelle il développera des symptômes qui lui seront propres.
Il peut s’agir des suites d’un accident, d’un traumatisme, d’une maladie aiguë ou d’une atteinte chronique, comme les atteintes saisonnières, les maladies auto-immunes, la dépression, soit des troubles physiques ou psychiques, voire énergétiques.
Même si l’homéopathie peut être choisie comme seul traitement, elle ne remplacera en aucun cas la médecine conventionnelle ! Elle viendra en soutien ou à la suite d’un traitement déjà en cours. C’est pourquoi l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) la classe dans les médecines complémentaires :
Les termes « médecine complémentaire » ou « médecine alternative » font référence à un vaste ensemble de pratiques de santé qui ne font pas partie de la tradition ni de la médecine conventionnelle du pays et ne sont pas pleinement intégrées à son système de santé prédominant.
Stratégies de l’OMS pour la médecine traditionnelle pour 2014-2023
Elle viendra également en complément d’un traitement chirurgical et pourra, le cas échéant, soutenir les efforts de corps pour reconstituer les tissus atteints, ainsi que le rétablissement psychique après le choc de l’hospitalisation en elle-même ou celui ayant mené à cette chirurgie (accident, traumatisme, etc.).
Notez que l’on parle bien ici de médecine. Dans plusieurs pays du monde actuel, comme en Inde par exemple, il existe en parallèle aux facultés de médecine (traditionnelle ou classique ou encore occidentale) des facultés de médecine homéopathique.
Compte tenu de sa particularité, fondée sur l’observation et l’analyse des symptômes et des remèdes, un homéopathe peut être issu du monde médical (docteur en médecine, sage-femme, soignant, vétérinaire) ou non, moyennant une bonne connaissance de la physiologie et de la pathologie du corps soigné (humain, animal, végétal).
L’homéopathie est une méthode de traitement médical alternative qui a été développée au XVIIIe siècle par le médecin allemand Samuel Hahnemann. L’histoire de l’homéopathie remonte à 1796, lorsque Hahnemann a publié son ouvrage fondateur, l’Organon de l’art de guérir (du grec ancien Organon veux dire outil, instrument).
L’homéopathie repose sur le principe de la similitude, qui stipule que les substances qui provoquent des symptômes chez une personne en bonne santé peuvent être utilisées pour traiter des malades présentant des symptômes similaires.
Dès le début, les Hahnemann et ceux qui l’ont suivi n’ont préconisé l’administration que d’un seul remède à la fois afin de pouvoir observer les réactions consécutives et adapter le traitement si besoin. C’est pourquoi l’homéopathie uniciste est aussi nommée classique.
C’est cette façon de procéder que j’ai apprise et que j’utilise.
L’homéopathie classique du 18e siècle s’est enrichie d’une immense expérience qui a donné lieu à de nouvelles approches.
J’ai donc pu compléter ma formation d’homéopathe uniciste par l’étude du système de la Sensation, tel que développé par le Docteur Rajan Sankaran, puis par la méthode de la Synergie telle que largement appliquée et enseignée aujourd’hui en Inde, au Brésil ou encore en Europe de l’Est, et, plus près de nous par la Doctoresse Isabelle Monfort à Genève, ou le Docteur William Suerinck à Marseille, auprès desquels j’ai eu l’immense privilège d’effectuer plusieurs stages.
J’étais et je reste émerveillée par l’efficacité et la manière particulière dont cette médecine fonctionne. J’ai pu assister à des guérisons si douces que la personne ne s’était pas rendue compte qu’elle n’avait plus de symptômes ! L’harmonie s’était tout simplement rétablie.
L’homéopathie est hautement respectueuse de l’environnement et peu onéreuse, ce qui répond parfaitement aux préoccupations de notre temps, dans la mesure où les remèdes sont préparés avec très peu de matière première, de l’eau, de l’alcool pour les teintures-mères et un support très léger pour la confection des granules. Leur coût est par conséquent très bas.
Mon cabinet se trouve à la route du Moulin 53 à Mission, en Valais.
L’entrée se fait par la porte au rez-de chaussée.